Archives mensuelles : décembre 2023

Plaintes et louanges – Commentaire pour les époux : Luc 2, 36-40

EVANGILE

Elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Evangile de Jésus Christ selon Saint Luc 2, 36-40

En ce temps là il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage, demeurée veuve, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.

Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.

Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth. L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.

Parole du Seigneur

 

Plaintes et louanges.

Nous voyons en Anne une femme très âgée, mais pleine de vie, qui vient louer Dieu. Elle se présente en louant Dieu. Peut-on se plaindre et louer Dieu ? Peut-on être amer et louer Dieu ? Anne était heureuse dans sa vieillesse, parce qu’elle avait consacré toute sa vie à se donner à Dieu. D’abord en tant que femme mariée, puis en tant que veuve, mais avec le cœur tourné vers l’amour de Dieu et en se laissant remplir par l’amour de Dieu. Elle parlait du Seigneur à tout le monde, leur communiquant l’amour qu’elle avait reçu de Lui.

En tant qu’époux, je sais que le seul problème qui m’empêche d’être heureux dans la vie, c’est moi-même, lorsque je ne centre pas mon cœur sur Dieu, mais que je mets ma joie et mon espérance dans mes attentes. Si je veux vivre heureux même dans la vieillesse, je dois mettre mon cœur sur le Seigneur, sur le fait de servir le Seigneur à partir de ma vocation.

Comme le dit le catéchisme : l’homme est créé par Dieu et pour Dieu, et c’est seulement en Dieu qu’il trouvera la vérité et le bonheur qu’il ne cesse de chercher.

Appliqué à la vie conjugale

Martin : Ces derniers temps, tu te plains beaucoup, tu ne me donnes pas l’attention dont j’ai besoin, et je ne peux pas être heureux comme ça.
Louise : J’ai le même sentiment. Je ne sens pas que tu m’apprécies, tu me demandes des choses que tu ne fais pas non plus… et je ne sens pas que tu es dans mon cœur.
Martin : Nous devons faire quelque chose, mais bien sûr, en nous regardant l’un l’autre, nous n’allons nulle part. Ce n’est pas de l’amour.
Louise : Je pense que la solution est que nous arrêtions de nous regarder, et que nous commencions à être des époux non pas pour recevoir l’un de l’autre, mais pour rendre gloire à Dieu, avec nos cœurs tournés vers Dieu. C’est décider : je vais t’aimer, spécifiquement toi, parce que c’est la mission que Dieu m’a confiée et parce qu’Il est en toi.
Martin : Tu as raison. Dieu ne mérite pas que nous répondions ainsi après nous avoir créés par amour et nous avoir confié cette merveilleuse mission conjugale, avec toute son illusion, pour que nous devenions saints à travers elle. Nous allons nous aimer les yeux fixés sur Lui, et je recommence à sentir la joie !
Louise : Oui, et l’espoir, allons-y à fond ! Je vais t’aimer tellement que tu vas avoir des hallucinations !
Martin : Hahaha, et toi, tu vas halluciner !

Vierge Marie,
Nous cherchons le bonheur en dehors de Dieu et nous ne le trouverons pas. Nous avons besoin d’une conversion constante pour retrouver la vraie perspective qui nous permettra d’être heureux jusqu’à la fin de nos jours. Abandon pour Dieu et avec Dieu. Gloire à Dieu !

Chef-d’œuvre. Commentaire pour les époux : Luc 2,36-40

EVANGILE
« Lumière qui se révèle aux nations. »
Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 2,36-40.
En ce temps-là, quand les parents de Jésus vinrent le présenter au Temple, il y avait aussi une femme prophète, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était très avancée en âge ; après sept ans de mariage,
demeurée veuve, elle était arrivée à l’âge de quatre-vingt-quatre ans. Elle ne s’éloignait pas du Temple, servant Dieu jour et nuit dans le jeûne et la prière.
Survenant à cette heure même, elle proclamait les louanges de Dieu et parlait de l’enfant à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
Lorsqu’ils eurent achevé tout ce que prescrivait la loi du Seigneur, ils retournèrent en Galilée, dans leur ville de Nazareth.
L’enfant, lui, grandissait et se fortifiait, rempli de sagesse, et la grâce de Dieu était sur lui.
Parole du Seigneur.

Chef-d’œuvre.
Dieu a voulu faire partie d’une famille et ainsi, en plus de la dignifier, il nous enseigne que c’est la manière d’entrer dans la vie humaine, de grandir et de se fortifier en tant que personne. Dans la famille, il y a une autorité des parents qui vise à libérer leurs enfants de l’esclavage du péché, une obéissance des enfants qui les comble et les construit, une égalité malgré nos différences, dans laquelle, étant tous d’égale dignité, nous vivons ensemble avec nos grandes différences, une communion dans laquelle l’amour réciproque est expérimenté comme nulle part ailleurs, un amour qui nous unit et rend la famille possible malgré nos imperfections, et la paix du Christ qui rachète sans cesse nos relations familiales. Telle est la richesse de la famille.
Quel grand miracle de Dieu que la famille, quelle beauté de la création, capable de refléter la Famille qu’est Dieu.

Appliqué à la vie conjugale
Époux : Mon épouse est essentielle pour s’occuper des petits détails. Elle a joué un rôle clé dans la croissance de la foi de notre famille. C’est elle qui cherche toujours à comprendre l’autre, qui représente la tendresse pour nos enfants. Elle est la douceur, la tendresse de la famille.
Épouse : Mon époux est le chef de famille. Il est comme le pilier sur lequel nous nous appuyons tous. Il est celui qui donne la force, la sécurité, celui qui quand il dit oui, c’est un oui retentissant. Il aide nos enfants à être fermes, il leur apprend à mûrir dans la vie et il les aime avec la distance apparente de celui qui, avant tout sentimentalisme, veut leur bien-être.
Les deux parents : Nos enfants sont un don de Dieu. Il faut toute une vie pour les élever, mais c’est précisément ce qui nous comble : donner notre vie pour qu’ils grandissent en bonne santé (surtout sur le plan spirituel). C’est un honneur que Dieu place sous notre autorité ses enfants qui seront nos frères en Christ pour l’éternité, s’Il le veut.
Enfants : Nos parents sont un signe de la surabondance de Dieu. En voyant comment nos parents se sont donnés à nous, nous comprenons un peu plus combien Dieu nous aime. Nous avons envers eux une dette que nous ne pourrons jamais rembourser. Tant d’heures sans dormir, tant de nuits blanches, tant de soucis, tant d’heures pour nous éduquer, pour nous enseigner… L’honneur d’avoir été aux premières loges d’un témoignage d’amour, de les voir s’aimer, faire des efforts, demander pardon…

Père,
Merci pour la famille que tu nous as donnée. Merci parce que l’amour et la communion familiale ont été et sont fondamentaux pour nous tous. Merci parce qu’en elle nous avons appris à te connaître et à prier. Merci parce qu’il est clair que la famille est ton chef-d’œuvre, né de ta main créatrice. Loué sois-tu, Seigneur.

Insatisfait. Commentaire pour les époux : Luc 2,22-35

EVANGILE
« Lumière qui se révèle aux nations. »
Evangile de Jésus-Christ selon saint Luc 2,22-35.

Quand fut accompli le temps prescrit par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus l’amenèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur,
selon ce qui est écrit dans la Loi : ‘Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur.’
Ils venaient aussi offrir le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : ‘un couple de tourterelles ou deux petites colombes.’
Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la Consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui.
Il avait reçu de l’Esprit Saint l’annonce qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Christ, le Messie du Seigneur.
Sous l’action de l’Esprit, Syméon vint au Temple. Au moment où les parents présentaient l’enfant Jésus pour se conformer au rite de la Loi qui le concernait,
Syméon reçut l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant :
« Maintenant, ô Maître souverain, tu peux laisser ton serviteur s’en aller en paix, selon ta parole.
Car mes yeux ont vu le salut
que tu préparais à la face des peuples :
lumière qui se révèle aux nations et donne gloire à ton peuple Israël. »
Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qui était dit de lui.
Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Voici que cet enfant provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de contradiction
– et toi, ton âme sera traversée d’un glaive – : ainsi seront dévoilées les pensées qui viennent du cœur d’un grand nombre. »
Parole du Seigneur.

Insatisfait
Si nous n’étions pas insatisfaits, nous ne nous bougerions pas. Dans cette vie, nous vivrons dans l’insatisfaction permanente jusqu’au dernier jour de notre vie. Cette insatisfaction dont nous parlons peut me conduire au désespoir, parce que je ne trouve pas ce que je cherche, parce que mes désirs ne sont pas satisfaits. Notre mariage se dirige vers une recherche permanente de la perfection, de la connaissance mutuelle, de cet amour qui ne rassasie jamais . La pièce manquante pour donner une stabilité, un équilibre à cette insatisfaction permanente s’appelle l’Espérance. Le Cantique des Cantiques reflète très bien cette belle recherche entre l’amant et l’aimé qui ne cesse jamais, mais qui espère toujours atteindre le point culminant. La clé de Siméon était celle-là, l’Espérance qui jaillit de la foi et qui le conduit à la paix.

Appliqué à la vie conjugale
Anne : J’ai envie de jeter l’éponge. Je ne sais pas quoi faire d’autre pour notre mariage. Et à mon mari, peu lui importe : il ne fait rien, il ne fait pas d’effort, je dois toujours tout faire…
Couple tuteur : Nous pensons que tu manques d’heures d’adoration du Saint Sacrement.
Anne : Mais quel est le rapport ? Le problème, c’est mon mari. Il ne fait pas d’effort.
Couple tuteur : C’est ce que tu penses, le problème c’est que tu manques de foi et c’est pour cela que tu perds espoir. Tu fondes tes arguments sur tes propres forces, sur ce que tu fais, sur ce que ton mari fait, et tu ne te rends pas compte que votre mariage est une œuvre de Dieu. Tu manques de foi. Écoute-nous. Adore le Saint Sacrement et tu verras.
(Quelques semaines plus tard)
Anne : Vous aviez raison. Je me suis vue si petite à côté de Lui… Merci. J’ai repris mon sacrement avec une espérance renouvelée.

Vierge Marie,
Nous avons la foi, mais augmente en nous la foi pour que nous continuions à vivre notre vocation avec Espérance et atteindre la paix. Loué sois le Seigneur. Lui seul suffit.

Les nouveaux « Herodes » : Commentaire pour les époux : Matthieu 2, 13-18

EVANGILE
Hérode a tué tous les enfants de Bethléem
Evangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu 2, 13-18

Après le départ des mages, voici que l’ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit : « Lève-toi ; prends l’enfant et sa mère, et fuis en Égypte. Reste là-bas jusqu’à ce que je t’avertisse, car Hérode va rechercher l’enfant pour le faire périr. »
Joseph se leva ; dans la nuit, il prit l’enfant et sa mère, et se retira en Égypte, où il resta jusqu’à la mort d’Hérode, pour que soit accomplie la parole du Seigneur prononcée par le prophète : D’Égypte, j’ai appelé mon fils.
Alors Hérode, voyant que les mages s’étaient moqués de lui, entra dans une violente fureur. Il envoya tuer tous les enfants jusqu’à l’âge de deux ans à Bethléem et dans toute la région, d’après la date qu’il s’était fait préciser par les mages.
Alors fut accomplie la parole prononcée par le prophète Jérémie : Un cri s’élève dans Rama, pleurs et longue plainte : c’est Rachel qui pleure ses enfants et ne veut pas être consolée, car ils ne sont plus.

Parole du Seigneur

Les nouveaux « Herodes »

Nous célébrons aujourd’hui la fête des Saints Innocents. Nous apprenons aujourd’hui que la sainteté est un don de Dieu et qu’elle ne dépend pas de nos « mérites », même si nous devons rougir chaque fois que nous en parlons. Ces enfants règnent avec le Père, et nous pourrions dire qu’ils n’ont rien fait pour le mériter. Ils ont souffert le martyre, mais c’était contre leur volonté et ils n’ont pas pu l’empêcher. Le fait est qu’ils ont déjà participé à la mort de Jésus et qu’ils participent maintenant à sa résurrection par pure grâce divine.

Mais en fin de compte, Dieu est le Dieu de tout et de tous. L’Enfant Jésus sans défense est sauvé, parce que Dieu le sauve, grâce à saint Joseph, son gardien, qui le protège en faisant ce qu’il lui dicte. Faisons de même avec nos enfants, quoi que Dieu nous dise de faire.

Appliqué à la vie conjugale

Romain : Bonjour, Marine. Cela fait longtemps que je ne t’ai pas vue. Tu ne viens plus ici ?

Marine : Non, nous avons changé d’école.

Romain : Pourquoi ?

Charles : Nous n’aimions pas l’atmosphère ou l’éducation qu’ils recevaient. Même si c’est une école religieuse, ils ne célèbrent pas souvent l’Eucharistie, il n’y a pas d’actes de pénitence… et ce qu’ils enseignent n’est pas en pleine communion avec le Catéchisme de l’Église Catholique. Nous voulons que nos enfants soient heureux, et nous savons qu’ils ne le seront que s’ils suivent le chemin de la vérité. Alors, si on leur montre un chemin quelque peu déviant, nous ferons ce qu’il faut, mais nous veillerons à ce que nos enfants soient sauvés. Viennent ensuite les bouleversements et les pleurs, comme cela est arrivé à mes voisins, lorsque leur fille aînée a franchi la porte avec une valise et deux enfants en bas âge, parce qu’elle ne supporte plus son mari et qu’elle se sépare. Pauvres voisins, pauvre fille et pauvres enfants. Qu’est-ce qui leur arrive ? Nous prions beaucoup pour eux et nous essayons de réorienter la situation, parce qu’ils n’ont aucune idée de l’amour et du mariage.

Romain : Écoute, mais pour en revenir à l’école, je suis très intéressé par ce que tu me dis. Dis-moi, s’il te plaît, quels sont les détails que tu as trouvés sur l’éducation dans notre école et parle-moi aussi de l’école où tu les emmènes maintenant ?

Vierge Marie,

Les nouveaux « Hérodes » tuent la conscience des enfants, ils tordent la loi de Dieu. Ils veulent montrer un dieu qui n’est pas Dieu, et un amour qui n’est pas l’Amour. Mère, nous sommes prêts à tout faire pour le salut de notre famille et de nos enfants. Louange à Celui qui est la Vérité. Amen.

 

Pourquoi, à votre avis? Comentario para Matrimonios: Juan 20, 1a. 2-8

EVANGILE
« L’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. »
Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 20,2-8.

Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine courut trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a déposé. »
Pierre partit donc avec l’autre disciple pour se rendre au tombeau.
Ils couraient tous les deux ensemble, mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau.
En se penchant, il s’aperçoit que les linges sont posés à plat ; cependant il n’entre pas.
Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau ; il aperçoit les linges, posés à plat,
ainsi que le suaire qui avait entouré la tête de Jésus, non pas posé avec les linges, mais roulé à part à sa place.
C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut.
Parole du Seigneur.

Pourquoi, à votre avis ?
Nous célébrons aujourd’hui la fête de saint Jean l’Évangéliste, surnommé le disciple bien-aimé. Pourquoi Jean a-t-il cru en la résurrection ? À cause des signes qu’il a vus sur le linceul entourant le corps de Jésus. Selon les experts, la traduction correcte de l’Évangile serait la suivante : « Après lui vient Simon Pierre, il entre dans le tombeau et voit le drap dégonflé ; et le linceul qui était autour de sa tête, non pas aplani comme le drap, mais roulé à sa place. Alors l’autre disciple, celui qui était arrivé le premier au tombeau, entra aussi ; il vit et crut ». En d’autres termes, ce que Jean a vu, c’est que tous les linges dont Jésus était enveloppé étaient là, tels qu’ils avaient été mis sur lui, ce qui est impossible si Jésus ressuscité n’a pas traversé le drap et le bandeau sans enlever le nœud serré qui était fait pour fermer la bouche du défunt.
Ce n’étaient pas des preuves irréfutables, mais c’étaient des indications, et Jean a cru en la résurrection. Des milliards d’autres ont cru après lui, peut-être aussi parce que nous avons perçu une indication qui nous a fait croire.

Appliqué à la vie conjugale
André : Laure, pourquoi crois-tu ?
Laure : J’ai eu beaucoup d’expériences avec le Seigneur. J’ai expérimenté comment le Père m’aime, comment il a pris soin de moi, et comment Jésus intervient dans ma vie et me transforme, et transforme ceux qui m’entourent. Et toi ?
André : Je dirais presque que je crois en tout, mais si je dois choisir une chose, je dirais parce que je sais comment était notre mariage avant de le rencontrer et je vois clairement qu’un miracle s’est produit entre nous. Avant notre conversion, personne n’aurait parié un centime pour notre mariage.

Vierge Marie,
Je crois que tu as été la première à croire. Bienheureuse es-tu. Merci de nous précéder en tout, Mère bénie.