Archives mensuelles : mars 2025

Le pouvoir de Sa compassion. Commentaire pour les époux : Jean 4, 43-54

ÉVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon Saint Jean 4, 43-54
Jésus, après avoir passé deux jours chez les Samaritains, partit pour la Galilée. Lui-même avait attesté qu’un prophète n’est pas honoré dans son propre pays. Il arriva donc en Galilée ; les Galiléens lui firent bon accueil, car ils avaient vu tout ce qu’il avait fait à Jérusalem pendant la fête de la Pâque, puisqu’ils étaient allés eux aussi à cette fête. Ainsi donc Jésus revint à Cana en Galilée, où il avait changé l’eau en vin.
Or, il y avait un fonctionnaire royal, dont le fils était malade à Capharnaüm. Ayant appris que Jésus arrivait de Judée en Galilée, il alla le trouver ; il lui demandait de descendre à Capharnaüm pour guérir son fils qui était mourant. Jésus lui dit : « Vous ne pourrez donc pas croire à moins d’avoir vu des signes et des prodiges ? ». Le fonctionnaire royal lui dit : « Seigneur, descends, avant que mon enfant ne meure ! ». Jésus lui répond : « Va, ton fils est vivant ».
L’homme crut à la parole que Jésus lui avait dite et il partit. Pendant qu’il descendait, ses serviteurs arrivèrent à sa rencontre et lui dirent que son enfant était vivant. Il voulut savoir à quelle heure il s’était trouvé mieux. Ils lui dirent : « C’est hier, au début de l’après-midi, que la fièvre l’a quitté ». Le père se rendit compte que c’était justement l’heure où Jésus lui avait dit : « Ton fils est vivant ». Alors il crut, avec tous les gens de sa maison. Tel est le second signe que Jésus accomplit lorsqu’il revint de Judée en Galilée.
Parole du Seigneur

Le pouvoir de Sa compassion.
Il est curieux que le premier miracle de Jésus à Cana en Galilée ait été sur les époux, et que celui-ci soit sur les enfants. Quel pouvoir nous, parents, avons sur nos enfants ! Le pouvoir du Seigneur qui compatit avec les enfants à travers les larmes et les souffrances de leurs parents. Et quel pouvoir les époux ont envers les autres « enfants spirituels » pour lesquels ils souffrent et se donnent. C’est ce pouvoir que le Projet Amour Conjugal proclame. C’est la bombe atomique de l’Amour.

 
Appliqué à la vie conjugale
 
Lucie : Nous nous préoccupons de l’entrée de nos enfants dans de bonnes écoles et de leur formation universitaire. Mais combien de sacrifices offrons-nous au Seigneur pour eux ?
Jacques : Tu as raison. Nous donnons beaucoup, mais nous demandons peu au Seigneur, pour eux, dans la Foi. Et aussi pour ces autres couples pour lesquels nous donnons tant de week-ends que nous leur consacrons.
Lucie : Offrons nos souffrances pour eux, par la grâce de notre sacrement, et le Seigneur viendra et fera le miracle.
Jacques : Ainsi soit-il.

Vierge Marie
 
Nous t’avons comme Mère, nous avons le Père, nous avons le Christ Époux, comment ne pouvons-nous pas être entendus quand nous offrons nos larmes ? Louons le Cœur compatissant du Seigneur.

Avec quel empressement – Commentaire pour les époux : Luc 15, 1-3. 11-32

EVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon Saint Luc 15, 1-3. 11-32

En ce temps-là, les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui : « Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » Alors Jésus leur dit cette parabole : « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : “Père, donne-moi la part de fortune qui me revient.” Et le père leur partagea ses biens.
Peu de jours après, le plus jeune rassembla tout ce qu’il avait, et partit pour un pays lointain où il dilapida sa fortune en menant une vie de désordre. Il avait tout dépensé, quand une grande famine survint dans ce pays, et il commença à se trouver dans le besoin. Il alla s’engager auprès d’un habitant de ce pays, qui l’envoya dans ses champs garder les porcs. Il aurait bien voulu se remplir le ventre avec les gousses que mangeaient les porcs, mais personne ne lui donnait rien.
Alors il rentra en lui-même et se dit : “Combien d’ouvriers de mon père ont du pain en abondance, et moi, ici, je meurs de faim ! Je me lèverai, j’irai vers mon père, et je lui dirai : Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. Traite-moi comme l’un de tes ouvriers.” Il se leva et s’en alla vers son père.
Comme il était encore loin, son père l’aperçut et fut saisi de compassion ; il courut se jeter à son cou et le couvrit de baisers. Le fils lui dit : “Père, j’ai péché contre le ciel et envers toi. Je ne suis plus digne d’être appelé ton fils.” Mais le père dit à ses serviteurs : “Vite, apportez le plus beau vêtement pour l’habiller, mettez-lui une bague au doigt et des sandales aux pieds, allez chercher le veau gras, tuez-le, mangeons et festoyons, car mon fils que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé.” Et ils commencèrent à festoyer.
Or le fils aîné était aux champs. Quand il revint et fut près de la maison, il entendit la musique et les danses. Appelant un des serviteurs, il s’informa de ce qui se passait. Celui-ci répondit : “Ton frère est arrivé, et ton père a tué le veau gras, parce qu’il a retrouvé ton frère en bonne santé.”
Alors le fils aîné se mit en colère, et il refusait d’entrer. Son père sortit le supplier. Mais il répliqua à son père : “Il y a tant d’années que je suis à ton service sans avoir jamais transgressé tes ordres, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour festoyer avec mes amis. Mais, quand ton fils que voilà est revenu après avoir dévoré ton bien avec des prostituées, tu as fait tuer pour lui le veau gras !”
Le père répondit : “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. Il fallait festoyer et se réjouir ; car ton frère que voilà était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu, et il est retrouvé !” »

Parole du Seigneur

Avec quel empressement

Seigneur, quand je lis cet Évangile, je peux me concentrer sur le caractère méprisable du fils qui demande l’héritage pour son égoïsme, et sur le caractère méprisable du fils aîné pour son ingratitude et son manque de compassion à l’égard de son frère. Toi, par contre, tu mets l’accent sur l’empressement à le retrouver et la grande joie de pouvoir le sauver.
Cela me remplit d’espoir de savoir avec quel empressement tu m’attends les bras ouverts quand je suis loin de toi et avec quel empressement tu partiras à ma recherche pour te remplir de la joie de m’avoir sauvée. Merci Seigneur de m’aimer autant. Comme tu es grand. Tu es saint, Seigneur, loué sois-tu !

Appliqué à la vie conjugale

Alban : Peux-tu imaginer que lorsque tu t’es éloigné de moi, mon seul empressement ait été de venir à ton secours avec amour ?
Je pense que cette attitude me rendrait vraiment semblable à Dieu.
Florence : Ce n’est qu’avec l’amour de Dieu que tu peux réagir ainsi. Surtout qu’à ce moment-là, je ne t’aurais sûrement pas accueilli, mais j’aurais continué à te rejeter.
Alban : Ouf ! Maintenant je vois clairement que seul l’amour de Dieu est capable de réagir en aimant de cette façon. Je vois que je dois être très proche de Lui. Qu’est-ce que je dis ! Pas très proche, mais… être en Lui. Il peut t’aimer ainsi à travers moi.

Vierge Marie

Bien que je sois perdu, prends-moi dans ton cœur pour que je puisse être dans Son cœur et dans le cœur de mon époux ou de mon épouse. Merci, Sainte Mère.

Pour ton honneur, Seigneur ! Commentaire pour les époux : Luc 18, 9-14

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc

En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici : « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : “Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.” Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : “Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !” Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »

– Acclamons la Parole de Dieu.

Pour Ton honneur, Seigneur !

Désir d’honneur des autres, c’est cela le problème, parce que les honneurs viennent seulement de Dieu. La seule manière de recevoir les honneurs, c’est de passer par Dieu, parce que les honneurs que les hommes peuvent nous attribuer ne servent à rien.  Les hommes peuvent juste nous placer au-dessus d’autres hommes, ils peuvent nous donner plus de considération que d’autres hommes, et souhaiter cela n’est pas chrétien.  Dieu peut m’élever vraiment en me glorifiant, en me faisant dépasser ma propre nature, et cela passe par la voie de l’humiliation.

Appliqué à la vie conjugale :

Richard : Seigneur, je n’ai pas compris qu’il me faut être méprisé pour être glorifié, fais que je désire être méprisé, parce que cela me coûte encore.
Anne : Seigneur, donne-moi ce que Tu trouves nécessaire par le biais de mon époux.  C’est Toi qui diriges ma vie et Tu veux me glorifier avec Toi.  Je ne veux pas recevoir les honneurs des hommes, mais seulement les Tiens, Seigneur !

Vierge Marie,

Que nous désirions seulement les honneurs que Dieu voudra nous donner.  En attendant, à Lui, la gloire et la louange pour les siècles des siècles !

Attentifs au don – Commentaire pour les époux : Marc 12, 28b-34

EVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon Saint Marc 12, 28b – 34

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? »
Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force. Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »
Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force, et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »
Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger.

Parole du Seigneur

Attentifs au don

Dans l’Évangile d’aujourd’hui, lorsque le Seigneur répond au scribe, il commence par dire « Écoute, Israël », puis il poursuit par « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur… ». La première chose à faire est donc d' »écouter » combien Dieu m’aime, afin de pouvoir répondre à Celui qui m’aime par-dessus tout en l’aimant de la même manière.
Nous devons apprendre à écouter, car c’est en écoutant que l’on sait, et c’est en sachant que l’on peut aimer. La Parole nous aide à écouter Dieu et à le connaître. C’est le premier moyen, d’où l’importance de la prière. Mais tout au long de la journée, je peux être en mode « écoute de Dieu », attentif à tous les dons que je reçois de Lui. Je découvre un Père qui est en tout et en chacun, qui fait des miracles pour moi chaque jour, et je tombe de plus en plus amoureux de Lui. Ma réaction immédiate sera de répondre à cet amour comme Il veut que je réponde, c’est-à-dire en aimant mon époux comme Il m’aime. Puis, mes enfants, ma famille, mes amis….
L’exercice d’aujourd’hui consiste à être « attentif au don » de Dieu à chaque minute. Vous verrez comment votre journée changera.

Appliqué à la vie conjugale

Charles : Je me suis réveillé ce matin, dans un lit, merci Seigneur de m’avoir donné un endroit chaud et confortable pour me reposer. A côté de moi, il y avait mon épouse, qui s’est réveillée presque en même temps que moi. Merci Seigneur de m’avoir donné une de Tes filles, pour que je puisse vivre avec elle un amour de communion, comme celui que Tu vis. Je me lève et me lave. Merci Seigneur de m’avoir donné ce robinet d’eau chaude et claire qui me permet d’être propre à l’extérieur, à l’aise, sentant bon. Une fois habillé, je sors de la chambre et me dirige vers la chambre des enfants. Ils dorment encore. Merci Seigneur de m’avoir donné Tes enfants pour que j’administre Ta paternité sur eux. Je les regarde avec l’affection que j’éprouve à me donner à eux chaque jour, à m’occuper d’eux, à les vêtir, à les éduquer, à construire des hommes et des femmes fidèles à Toi. J’ouvre le frigo et il y a tout ce qu’il faut pour un petit déjeuner en famille. Merci Seigneur pour notre pain, que nous partageons ensemble chaque jour, au milieu des rires, des histoires sur les uns et les autres, des projets pour le dimanche… Puis nous nous préparons pour aller ensemble à la messe. Les enfants mettent du temps à se préparer, nous allons être en retard, merci Seigneur de me donner des occasions de cultiver la patience. Nous arrivons à la messe, un immense merci Seigneur, parce que Tu te donnes à moi, à mon épouse, à mes enfants… pour nous remplir de Toi, de Ton amour, pour faire de nous une partie de Toi. Famille dans l’Esprit… En nous promenant, mon épouse et moi, nous parlions de nos affaires, nous nous embrassions… Merci Seigneur d’avoir cette aide adéquate pour écouter ses préoccupations, pour partager les miennes, pour aider, pour demander de l’aide, en qui je me repose tous les jours….
(Et c’est ainsi que tout le dimanche s’est écoulé…)
Aujourd’hui, j’ai appris à te reconnaître et à t’aimer, Seigneur.

Vierge Marie

J’ai besoin d’être attentif au don à chaque instant. Aide-moi à le voir. Même ce qui me semble négatif, aide moi à faire comme Toi, à garder ces choses dans mon cœur pour découvrir le don. C’est fou ce que Dieu m’aime, il faut juste que j’apprenne à reconnaître Son amour en toute chose et en toute personne. Louons le Seigneur.

Pour rien. Commentaire pour les époux Luc 11,14-23

Évangile.
« Celui qui n’est pas avec moi est contre moi » 
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 11, 14-23
En ce temps-là, Jésus expulsait un démon qui rendait un homme muet. Lorsque le démon fut sorti, le muet se mit à parler, et les foules furent dans l’admiration. Mais certains d’entre eux dirent : « C’est par Béelzéboul, le chef des démons, qu’il expulse les démons. » D’autres, pour le mettre à l’épreuve, cherchaient à obtenir de lui un signe venant du ciel. Jésus, connaissant leurs pensées, leur dit : « Tout royaume divisé contre lui-même devient désert, ses maisons s’écroulent les unes sur les autres. Si Satan, lui aussi, est divisé contre lui-même, comment son royaume tiendra-t-il ? Vous dites en effet que c’est par Béelzéboul que j’expulse les démons. Mais si c’est par Béelzéboul que moi, je les expulse, vos disciples, par qui les expulsent-ils ? Dès lors, ils seront eux-mêmes vos juges. En revanche, si c’est par le doigt de Dieu que j’expulse les démons, c’est donc que le règne de Dieu est venu jusqu’à vous. Quand l’homme fort, et bien armé, garde son palais, tout ce qui lui appartient est en sécurité. Mais si un plus fort survient et triomphe de lui, il lui enlève son armement, auquel il se fiait, et il distribue tout ce dont il l’a dépouillé.
Celui qui n’est pas avec moi est contre moi ; celui qui ne rassemble pas avec moi disperse. »
Parole du Seigneur.
Pour rien.
Vous vous sentez fort, avec vos propres critères. On s’est construit quelques soutiens pour se sentir en sécurité sur le plan économique avec des économies et une maison, sur le plan physique en faisant un peu de sport, sur le plan de la santé en soignant son alimentation, sur le plan affectif en misant sur les week-ends et les vacances et en faisant du shopping, sur le plan sentimental en faisant une retraite et en prenant des résolutions de temps en temps, et même sur le plan spirituel en apaisant sa conscience avec l’eucharistie du dimanche. Et quand on a installé son petit château, on s’aperçoit que rien ne marche. Je ne me sens pas en sécurité, l’exercice physique n’est pas suffisant, les résolutions ne me font pas de bien, et mes illusions s’envolent encore et encore, car les vacances se transforment en une dispute après l’autre.
Puis vient l’alternative de l’union transformatrice avec le Seigneur et l’alternative de vivre la grandeur de ma vocation en tant que couple marié, et tout rentre dans l’ordre. La paix arrive, la paix tant désirée, la paix que le cœur ne connaît pas tant qu’elle n’est pas atteinte. Le Seigneur prend toutes nos armes et je me soumets à lui avec joie, je me mets à son service pour tout ce qu’il veut, où et quand il veut. Et quand je ne le fais pas… Je m’effondre, je demande pardon et je reviens dans le droit chemin.
Appliqué à la vie conjugale :
Martine : Qu’est devenue cette angoisse, cette anxiété, ce malaise permanent, toutes ces peurs ? Ma vie est toujours exactement la même, nous avons les mêmes problèmes que tout le monde, les mêmes différences, les mêmes péchés à combattre dans nos cœurs… Les aspérités de nos vies ont disparu.
Jean : Nous avons appris à voir la vie comme un don de Dieu, à nous voir les uns les autres comme un don de Dieu, à compter sur la miséricorde de Dieu… Nous avons tout laissé entre Ses mains. Il est bien plus fort que toutes nos difficultés et nos péchés. Il est le roi de tout et de tous. Et Il nous aime infiniment. Il nous a apporté la pleine joie, comme il l’avait annoncé lui-même.
Martine : Béni soit le Seigneur.
Jean : Béni pour les siècles des siècles.
Vierge Marie,
Les époux qui ne sont pas avec Jésus-Christ sont contre Lui, et s’ils ne recueillent pas avec Lui les fruits de l’Amour, ils dispersent Ses dons et dispersent toute leur vie. Que Celui qui est le plus fort entre dans nos vies et nous enlève toutes les armes sur lesquelles nous nous sommes appuyés. Par Jésus-Christ, ton Fils, notre Seigneur. Amen.