Archives mensuelles : juillet 2025

Cent pour un – Commentaire pour les époux : Matthieu 19, 27-29

EVANGILE

Évangile de Jésus Christ selon Saint Matthieu 19, 27-29

En ce temps-là, Pierre prit la parole et dit à Jésus : « Voici que nous avons tout quitté pour te suivre : quelle sera donc notre part ? » Jésus leur déclara : « Amen, je vous le dis : lors du renouvellement du monde, lorsque le Fils de l’homme siégera sur son trône de gloire, vous qui m’avez suivi, vous siégerez vous aussi sur douze trônes pour juger les douze tribus d’Israël. Et celui qui aura quitté, à cause de mon nom, des maisons, des frères, des sœurs, un père, une mère, des enfants, ou une terre, recevra le centuple, et il aura en héritage la vie éternelle. »

Parole du Seigneur

Cent pour un.

Le Seigneur nous rend toujours au centuple.

Dans notre vie, notre priorité doit être Lui, et Lui seul. Il est vrai que nous avons des « obligations d’état » et qu’en servant dans ces obligations, nous servons Dieu, mais parfois le diable nous tente en donnant plus d’importance à certaines choses terrestres qu’aux choses divines.
Dans l’Évangile, le Christ parle de recevoir le centuple, mais nous nous demandons si, lorsque nous nous donnons au Seigneur, nous le faisons pour la récompense ou pour l’amour. Nous devons nous donner par amour, sans rien attendre en retour, car le simple fait de se donner est déjà plus qu’un don (« Il y a plus de joie à donner qu’à recevoir », Actes 20,35). Le don doit être sans mesure, comme l’ont dit de nombreux saints au cours de l’histoire, c’est-à-dire que nous devons donner jusqu’à ce que cela fasse mal.

Appliqué à la vie conjugale

Marie : Chéri, tu peux m’aider à préparer le dîner aujourd’hui ? Mon après-midi a été compliquée au travail et je ne sais pas si j’aurai le temps de le faire.

Georges : Bon… mais si je t’aide aujourd’hui, mardi soir, tu viendras avec moi à ce dîner avec mes amis que nous avons prévu ?
Marie : Vraiment ? C’est juste que tes amis racontent de mauvaises blagues, parfois ils vont un peu trop loin et je me sens un peu mal à l’aise… C’est pour ça que je n’aime pas aller à ces dîners.
Georges : Tu as raison chérie, depuis que nous nous rapprochons du Seigneur, j’ai aussi du mal à aller à ces dîners où l’on rit de tout, mais en mal… D’ailleurs, je te demande pardon, car je n’ai pas à t’aimer avec des conditions. Pour l’instant, je vais me retrousser les manches et préparer un dîner super savoureux !
Marie : C’est merveilleux ! Je ne te remercierai jamais assez. Disons à tes amis que nous nous retrouverons mardi pour diner mais que d’abord nous nous retrouvons à la chapelle pour l’adoration afin de les rapprocher du Seigneur.
Georges : Je pense que c’est une excellente idée ! Comme ça, Jésus changera leur cœur.

Vierge Marie

Aide-nous à nous donner sans limites, sans conditions, jusqu’à ce que cela fasse mal.

Gloire et louange au Seigneur qui rend tout cela possible.

Paix dans la maison. Commentaire pour les époux : Matthieu 10,7-15.

EVANGILE
Evangile de Jésus-Christ Matthieu 10,7-15.

En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres : « Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche.Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. Vous avez reçu gratuitement : donnez gratuitement. »Ne vous procurez ni or ni argent, ni monnaie de cuivre à mettre dans vos ceintures,ni sac pour la route, ni tunique de rechange, ni sandales, ni bâton. L’ouvrier, en effet, mérite sa nourriture.Dans chaque ville ou village où vous entrerez, informez-vous pour savoir qui est digne de vous accueillir, et restez là jusqu’à votre départ.En entrant dans la maison, saluez ceux qui l’habitent.Si cette maison en est digne, que votre paix vienne sur elle. Si elle n’en est pas digne, que votre paix retourne vers vous. »Si l’on ne vous accueille pas et si l’on n’écoute pas vos paroles, sortez de cette maison ou de cette ville, et secouez la poussière de vos pieds.Amen, je vous le dis : au jour du Jugement, le pays de Sodome et de Gomorrhe sera traité moins sévèrement que cette ville.

Parole du Seigneur.

Paix dans la maison.

Dans la vie conjugale, nous devrions comprendre cet envoi comme la mission que nous avons d’apporter le Royaume de Dieu à notre foyer, à notre époux. 
Souvent, nous attendons de l’autre qu’il change, et nous devons être clairs sur le fait que ce n’est pas ce que Jésus nous demande en tant qu’époux. Il veut que chacun de nous, indépendamment de la manière dont l’autre agit, proclame par ses actes que le Royaume est proche. Il est présent et actif au sein de l’amour humain et chacun de nous a la responsabilité de le montrer d’abord à son époux et ensuite aux autres.
Montrons-nous lorsqu’on se regarde, dans nos actes, en parlant de notre époux que le Royaume de Dieu est proche ? 
Le foyer conjugal est cette « maison » qui peut accueillir la paix de Dieu ou la rejeter. Accueillons la grâce, pour que la paix que nous désirons soit toujours présente dans notre foyer.

Appliqué à la vie conjugale

Colombe : Ignace, ces derniers temps, je réfléchis au témoignage que nous transmettons autour de nous. Penses-tu que nous laissons la bonne odeur du Christ avec notre présence ?
Ignace : En vérité, peut-être pas. La crainte du regard des autres est plus forte que moi et, en vérité, je ne suis pas capable de donner le témoignage que le Christ me demande. 
Colombe : Penses-tu que notre comportement est différent devant Dieu que devant les autres ? Ne devrions-nous pas être des epoux qui agissent en fonction de ce que Dieu nous demande ?
Ignace : pour ma part, et maintenant que tu me le dis et que j’y réfléchis, je ne pense pas. Je me préoccupe beaucoup de ce que pensent les autres et je suis sûr que je ne fais pas bien les choses.
Colombe : ne sois pas non plus si dur avec toi. Tu dis à tout le monde que tu donnes des cours de préparation à la confirmation et tu dis aussi à beaucoup de gens que nous faisons partie d’un groupe de Projet Amour Conjugal.
Ignace : C’est vrai. Peut-être que je ne suis pas si « méchant ».
Colombe : Ignace, tu n’es pas méchant. Et encore moins, aux yeux de Dieu. Mais il est bon que nous réfléchissions souvent à tout cela pour ne pas oublier où nous en sommes, où Dieu veut que nous soyons et ce qu’il attend de nous, tu ne crois pas ?
Ignace : Bien sûr. Merci beaucoup de me l’avoir rappelé et de m’avoir aussi rappelé que j’ai changé en mieux dans ce domaine avec la grâce de Dieu. Bien sûr, je vois de plus en plus clairement que tu es en tous moments ce dont j’ai besoin pour aller au ciel. Merci, ma chérie.

Vierge Marie,

Aide-moi à suivre ton exemple de détachement des choses du monde, à ne pas avoir besoin de porter de l’argent ou de la petite monnaie ou une autre tunique ou des sandales… pour accomplir la volonté de Dieu. Louons-le à jamais.

En quittant, ils arrivèrent Commentaire pour les époux : Mathieu 10, 01-07

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

En ce temps-là, Jésus appela ses douze disciples et leur donna le pouvoir d’expulser les esprits impurs et de guérir toute maladie et toute infirmité.   Voici les noms des douze Apôtres : le premier, Simon, nommé Pierre ; André son frère ;     Jacques, fils de Zébédée, et Jean son frère ; Philippe et Barthélemy ; Thomas et Matthieu le publicain ; Jacques, fils d’Alphée, et Thaddée ; Simon le Zélote et Judas l’Iscariote, celui-là même qui le livra. Ces douze, Jésus les envoya en mission avec les instructions suivantes : « Ne prenez pas le chemin qui mène vers les nations païennes et n’entrez dans aucune ville des Samaritains. Allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël. Sur votre route, proclamez que le royaume des Cieux est tout proche. »

            – Acclamons la Parole de Dieu.

 

En quittant, ils arrivèrent.
Envoyés sous Son autorité pour guérir, ils furent guéris, pour former, et ils furent formés, pour faire le bien, et ils finirent par devenir saints.  Il sont sortis à la rencontre du cœur de l’autre, et ils sont arrivés au Cœur du Christ.

Comme c’est émouvant d’être aujourd’hui témoins du début de leur mission. Un chemin lent d’apprentissage depuis leur immaturité (cela n’arrivera jamais), en passant par de grandes lumières (Tu es le Messie, le fils du Dieu vivant), par la souffrance et les chutes (je ne connais pas cet homme), et surtout envahis par la miséricorde et le repentir (oui, Seigneur, Tu sais que je T’aime). Un chemin vers la pleine adhésion à Son corps mystique, au Règne du Christ.  Chers époux, qu’attendez-vous pour répondre à Son appel ? Allons vers le cœur de notre époux et répondons comme Ses disciples, en nous montrant tels que nous sommes pour que Lui agisse. Suivons fidèlement  Ses instructions dans la confiance.

 

Appliqué à la vie conjugale : 
Patty : aujourd’hui, ça n’a pas été facile. Entre le chaos au travail, les enfants et notre dispute de ce matin,… j’arrive à la fin de la journée épuisée.  Et même dans ce cas-ci,  tu as réagi différemment de moi. Je t’ai vu calme, attentif, tu m’as soutenue sans dire grand chose. 
Robert : moi aussi j’étais fatigué. Mais pendant que tu faisais la vaisselle, j’ai repensé à l’évangile de la Messe de ce matin, quand Jésus a envoyé les douze. Je me suis dit : est-ce qu’Il ne nous envoie pas aussi toi et moi juste ici dans les petites choses de tous les jours ?
Patty : nous ? tels que nous sommes ?
Robert : oui, pour guérir l’autre quand il est blessé, pour être là quand l’autre a beaucoup de choses à faire, pour consoler sans avoir besoin de mots.  Je pense que quand Jésus envoie, ce n’est pas seulement pour prêcher…c’est pour aimer comme Lui aime, parfois dans l’invisible.
Patty : c’est vrai. Aujourd’hui, je me sentais troublée, et cependant, quand je suis rentrée à la maison et que tu m’as accueillie avec un sourire, quelque chose en moi s’est calmé.  Ce n’est pas ça guérir ? 
Robert : et quand tu m’as pris dans les bras à la fin de la journée sans reproches, je me suis senti renouvelé.  Peut-être que cela aussi fait partie de cette autorité que Jésus nous donne : pouvoir faire le bien avec des gestes simples, bien que réels.
Patty : je me rends compte qu’il nous suffit d’être ouverts à Son appel.  Comme les Douze qui ont appris en chemin.
Robert : tout à fait ! nous aussi sommes sur ce chemin, à côté de Lui.
Patty : alors, aujourd’hui nous avons été envoyés…sans sortir de chez nous.

Robert : et en étant envoyés, nous nous sommes rapprochés un peu du cœur de l’autre…et nous avons fait un pas de plus vers le Christ.

 

Vierge Marie, 
Toi qui es Mère Dieu, Tu es aussi Mère de toute l’humanité ; guide-nous sur ce chemin.  Loué soit le Seigneur, c’est Lui le chemin.

le muet loua le Seigneur. Commentaire pour les époux : Mt 9, 32-38

ÉVANGILE

La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux
Évangile de Jésus-Christ selon Saint Matthieu
En ce temps-là,
    voici qu’on présenta à Jésus
un possédé qui était sourd-muet.
    Lorsque le démon eut été expulsé,
le sourd-muet se mit à parler.
Les foules furent dans l’admiration, et elles disaient :
« Jamais rien de pareil ne s’est vu en Israël ! »
    Mais les pharisiens disaient :
« C’est par le chef des démons
qu’il expulse les démons. »
    Jésus parcourait toutes les villes et tous les villages,
enseignant dans leurs synagogues,
proclamant l’Évangile du Royaume
et guérissant toute maladie et toute infirmité.
    Voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion envers elles
parce qu’elles étaient désemparées et abattues
comme des brebis sans berger.
    Il dit alors à ses disciples :
« La moisson est abondante,
mais les ouvriers sont peu nombreux.
    Priez donc le maître de la moisson
d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. »

le muet loua le Seigneur.

Il y a quinze jours, nous avons célébré la naissance de Jean-Baptiste, et nous avons vu que Zacharie a douté de la parole du Seigneur, et qu’il a été frappé de mutisme jusqu’à ce qu’il fasse ce que le Seigneur lui avait ordonné. Puis il retrouva sa voix et loua le Seigneur.
Combien de maris sont muets et ne louent pas le Seigneur parce qu’ils doutent de leur mariage ! Et combien d’entre nous, en. contemplant la beauté du mariage tel que Dieu l’a voulu, en redécouvrant notre conjoint comme le don le plus précieux que Dieu nous ait fait, en découvrant la grandeur de notre sacrement, avons-nous retrouvé la voix et loué le Seigneur ? Époux, nous ne pouvons rester silencieux.
Ô vous qui avez vu les miracles du Seigneur en vous! Le moment est venu de travailler à sa moisson, en proclamant l’évangile du mariage et de la famille, et en apportant Jésus aux mariages fatigués et abandonnés, afin qu’il les guérisse.
Appliqué à la vie conjugale :
Jean : Hier, j’ai vu ton frère assez triste, je ne sais pas… il me semble que ça ne va pas trop avec sa femme… Je pense que nous devrions leur parler et les inviter à une retraite du Projet Amour Conjugal. Qu’en penses-tu ?
Lola : Je ne sais pas, il est comme ça mais… peut-être que tu as raison et que je ne me suis pas rendu compte…
Jean : De plus, je le vois… comme dans l’Evangile, épuisé et abandonné, comme une brebis sans berger. Il a besoin de retrouver sa joie.
Lola : Jean, je t’aime tellement…. Tu es si compatissant ! Tu te mets toujours à la place de l’autre et tu cherches des moyens de l’aider et d’alléger ses souffrances. Comme j’apprends de toi !
Jean : Eh bien, Lola, tu sais … toi aussi… tu es toujours à l’écoute, et tu accueilles ce que je propose.
Lola : Bon je vais les appeler et nous leur dirons de venir dîner à la maison demain pour que nous puissions discuter tranquillement et les inviter à faire une retraite, pour qu’ils apprennent à connaître le mariage tel que Dieu l’a Pensé.
Jean : Quelle joie de pouvoir travailler ensemble à la moisson du Seigneur !

Vierge Marie,

Enseigne-nous et aide-nous à avoir un cœur compatissant comme le tien et celui de ton Fils.

Il vivra ! Commentaire pour les époux : Matthieu 9, 18-26

ÉVANGILE

Évangile de Jésus-Christ selon Saint Matthieu 9, 18-26
Tandis que Jésus leur parlait ainsi, voilà qu’un chef s’approcha ; il se prosternait devant lui en disant : « Ma fille est morte à l’instant ; mais viens lui imposer la main, et elle vivra ». Jésus se leva et se mit à le suivre, ainsi que ses disciples. Et voilà qu’une femme souffrant d’hémorragies depuis douze ans s’approcha par derrière et toucha la frange de son vêtement. Car elle se disait en elle-même : « Si je parviens seulement à toucher son vêtement, je serai sauvée ». Jésus se retourna, la vit et lui dit : « Confiance, ma fille ! Ta foi t’a sauvée ». Et la femme fut sauvée à l’heure même.
Jésus, arrivé à la maison du chef, dit, en voyant les joueurs de flûte et l’agitation de la foule : « Retirez-vous. La jeune fille n’est pas morte : elle dort ». Mais on se moquait de lui. Quand il eut mis la foule dehors, il entra et saisit la main de la jeune fille, qui se leva. Et la nouvelle se répandit dans tout ce pays.
Parole du Seigneur

Il vivra !

Quelle Foi impressionnante, celle du chef des juifs et de la femme hémorroïsse, ils sont un exemple que nous devons garder à l’esprit, car dans la difficulté ce que nous avons tendance à faire à cause de la concupiscence (tendance au mal due au péché originel) c’est de nous méfier et de blâmer celui qui est le plus proche de nous, en général notre conjoint. Seigneur, nous voulons Te faire confiance, nous savons que tout ce qui se passe dans nos vies fait partie du plan que Tu as pour que nous allions ensemble au Ciel. Aujourd’hui, je T’entends me dire : « Courage ! Ta foi sauvera ton mari et vos enfants, et les enfants de vos enfants…  » Merci, Seigneur, pour tout !

Appliqué à la vie conjugale
 
Jean : Béatrice, tu vas bien ?  Tu as l’air stressée.
Béatrice : Oh, Jean ! Tu me connais si bien, j’ai été inquiète toute la journée…
Jean : Qu’est-ce qu’il y a ?  Viens ici et raconte-moi.
Béatrice : Ne t’inquiète pas, tu regardes le match.  Tu mérites un peu de repos, tu as été avec les enfants toute l’après-midi.
Jean : J’éteins la télé tout de suite, tu es plus importante.  Raconte-moi tout.
Béatrice : C’est juste que j’ai parlé avec mon frère, il a le cœur tellement fermé ! Et je suis très inquiète pour lui, il a vécu un moment très compliqué qui s’est résolu miraculeusement, et au lieu de voir la main du Seigneur… ça l’a encore plus renfermé.  Je ne sais pas quoi faire, ma mère souffre aussi beaucoup.
Jean : C’est compliqué, je comprends que tu sois inquiète.  Tu lui as déjà parlé et tu lui témoignes de ta Foi et de ton changement de vie.  Je pense qu’il ne te reste plus qu’à faire confiance aux temps du Seigneur, qui ne sont pas les nôtres.  Prions pour lui, pour sa conversion de cœur, peux-tu imaginer les fruits qu’il portera autour de lui lorsqu’il sera converti ?  
Béatrice : Merci beaucoup Jean, j’avais besoin de ton regard surnaturel, tu es vraiment mon Aide Adéquate, je t’aime tellement. Béni sois-Tu, Seigneur ! Merci de m’avoir donné un mari si merveilleux.

 
Vierge Marie
Merci, merci, merci pour ton OUI et pour l’appel que tu nous as lancé à ce précieux Projet Amour Conjugal qui a tellement changé notre regard et notre Vie. Nous sommes là pour tout ce dont vous avez besoin. Loué soit ton Fils à qui nous nous confions.